Très récemment, je me suis aperçu que le fiston d' Hafez El Assad (ce bon président Syrien, disparu en 2000, arrivé au pouvoir trente ans auparavant grâce à un légitime coup d'état) est de cinq ans mon cadet. Je ne peux m'empêcher de penser que cet homme (ophtalmologiste de profession) qui s'accroche aujourd'hui sans complexe à son trône, jouait encore aux petits soldats en culottes courtes quand je rentrais moi-même dans le monde des grands. Il aurait sans doute mieux valu qu'il jouât aux billes.
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