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jeudi 1 février 2018

Petit kraft du jour

Valérie Leroux 


Juste au dessus de la pharmacie que son mari Bertrand vient d’acheter à son cousin Hugues au coin de la rue Jean Longuet et de la rue de Chalon.
C’est en effet grâce au petit héritage de sa tante Colette, cumulé à la donation que ses parents, Odile et Jacques, lui ont faite à la suite du décès de leur gendre Paul et à l’emprunt avantageux contracté auprès de son beau-frère Raoul (le fameux jour du mariage inespéré de son neveu Roger avec Sylvie, la fille cadette de la nouvelle femme de son oncle René de Saint-Vallier), que Bertrand a enfin pu rassembler la somme nécessaire pour acquérir la pharmacie dans laquelle il rencontra la sœur de Valérie, Yvonne, qui sera l’entremetteuse acharnée de leur union.
Valérie, elle, n’a jamais été très famille.

1 commentaire:

  1. Ca me rappelle l'histoire de Josette, la nièce du beau-frère de la tante de mon cousin par alliance Eusèbe qui rencontra son mari Gaétan lors de la communion du petit Gustave, fils de ses voisins Jeannette et Maurice dont la fille Aglaé avait un copain, Ursule demi-frère de Gaetan. Le monde est petit.

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